La vulgate administrative enorgueillit leur gestation d’un officiel « permis de construire ». N’est-ce pas l’exact contraire, interroge la photographe et plasticienne d’origine canadienne Catherine Marcogliese, dont l’une de ces « façades » à rendre « claustrophobe », mais rehaussée de sa vision artistique, est exposée en grandeur « nature », à Bandol, dans le cadre de Photo’Med ?
Une interrogation esthétique et humaniste à point nommé : 9 milliards d’être humains, voués pour plus d’un, à cette banalité. L’urbanité n’est-elle alors qu’une façade ? A croire qu’il n’y a plus que la mer, pour ne pas être encore ainsi construite …. et accorder une place à notre for intérieur.
Pour écouter le reportage, cliquer ci-après : Catherine Marcogliese