S’ils ne sont ni loup, ni pageot, ils ne méritent pas l’opprobre, bien au contraire : à la condition de savoir les apprêter puis les accommoder, le muge , la pélamide, le sévereau (chinchard), le congre, la saupe et même le mulet ont autant de vertus protéiniques voire gustatives que les poissons « nobles ». Ils ont en outre pour autre vertu de préserver les stocks halieutiques et le porte-monnaie. Les fiches-poissons renseignent à cet effet. Pour écouter le reportage avec Sophie Marty de L’encre de mer : Fiches poissons
Pour apprendre à ne plus les oublier….
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