Reportage audio : Oiseau indigo
Pour paraphraser Fernandel et son célèbre « Tango corse », l’identité de la Méditerranée, ce n’est pas une « identité de salariés », d’où sa complexité….
Les uns et les autres ne se sont nullement passés le mot : avec le recul du vent mauvais, la troisième édition de Photo’Med approche. Du 23 mai au 16 juin, la Méditerranée photographiée par les siens s’exposera en son talent (lire L’Encre de Mer). Mais d’ores et déjà au Salon du Livre de Paris, la maison de diffuseurs « L’Oiseau Indigo », maison née voici également trois ans, figure un heureux présage : « Pour que d’autres façons de dire le monde soient entendues en direct« , telle est la ligne éditoriale de L’Oiseau Indigo fondé par Isabelle Grémillet et qui rassemble déjà vingt-huit maisons d’éditions libanaises, tunisiennes, maliennes, ivoiriennes, marocaines. Beaucoup d’auteures, du reste, parmi les écrivains de notre Méditerranée, qui fait couler beaucoup d’encre. Et pas seulement.
A lire, par exemple, le quatrième ouvrage de l’écrivaine malienne Nathalie M’Dela-Mounier, « Dernières nouvelles du monde et autres histoires de saison ».
Et, puisque le Liban est cette année, le pays invité de Photo’Med,
« Celle que tu es devenue – 1910-1920 : Un destin libanais » de l’auteure Nayla Aoun Chkaiban.
Reportage audio : Oiseau indigo