Un arbre dans la nuit s’est posé. Ses branche épanouies surplombent la baie évanouie.
Sur fond de ciel azuré, il domine.
Le battement rapide d’un grand goéland traverse sa ramure, la vie en-deçà fourmille.
Le sillage évanescent d’une voile en partance trouble un court instant l’onde assagie, mer de l’oubli. De pales rayons transfigurent la nuit de l’effroi.
Un arbre dans la nuit s’est posé
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