Comme des cheveux tirés en arrière…
le soleil caresse son visage
qu’elle offre aux nues d’une douceur opaline.
Comme la clarté de son regard,
le refrain des vagues enamourées
berce ses oreilles libérées des mèches en bataille.
Loin du cri des enfants et des vaillants surfeurs,
dans l’immobilité du soleil qui décline
et des pierres qui s’érodent,
insérée là dans ce tableau vivant,
elle en partage les instants
de ses yeux grand ouverts, confiants
à l’aplomb du monde et de son front dégagé.