Malgré le fait que les zones de non-prélèvement prévues soient d’une dimension considérable « 4 568 ha » (sans aucune comparaison avec les réserves marines existant en Europe), et qu’elles soient situées sur l’un des rares sites de pêche dans une région où il n’y a pas de plateau continental, l’assemblée générale du GIP Calanques, réunie le 20 janvier dernier, maintient ces Zones « afin de ne pas fragiliser les compromis déjà actés ».
C’est tout l’avenir de la pêche artisanale entre Marseille et Toulon qui est en jeu. En pénalisant les pêcheurs concernés, ce parc va entraîner le report de l’activité sur la bande côtière, déséquilibrant toute la gestion de la ressource expérimentée depuis plusieurs siècles par les Prud’homies provençales. Continuer la lecture →