Michèle Mesmain au micro de Pascale Marcaggi sur la privatisation de nos ressources marines
« … On pouvait déplorer que la voix des ONG soit beaucoup plus forte que celle des pêcheurs artisans. Si, de surcroît, il y a une véritable stratégie, calculée sur le long terme, pour une mainmise sur l’ensemble des ressources, c’est bien que cela sorte maintenant, au moment des discussions sur la réforme de la pêche en Europe. »
Slow Fish international défend pour sa part la cogestion des territoires de pêche avec les pêcheurs, sachant que chaque territoire est différent. Et si la donne est difficile à comprendre à propos d’un territoire englouti, demandons-nous pourquoi les règles applicables à la forêt des Maures ne sont pas directement transposables à la forêt de Fontainebleau…